Deux concepts semblent se dégager sur la problématique qui fait l’objet des élections en côte d’ivoire.
La légitimité pour le cas présent est la conviction qu’on a que la majorité de l’électorat lors des dernières élections a été favorable à Ouattara.
Pourtant la légalité ici revêt outre la conformité à la loi, les questions d’éthique et de déontologie.Mais comme les notions d’éthique et déontologie sont pour ma part un peu subjectives ,on peu s’en remettre tout simplement à la conformité -à la loi.
la situation qui se présente aujourd’hui mets deux acteurs institutionnels en jeu à savoir la CEI et le conseil constitutionnel. la loi stipule que la CEI a compétence de proclamer les résultats provisoires et le conseil constitutionnel(CC)les résultats définitifs. sans oublier surtout que le CC est un organe judiciaire de dernier ressort dont ses jugements sont revêtus de ce qu’on appelle en droit de l’autorité de la chose jugée, par conséquent non susceptible de recours.
cette situation me fait penser à un match de football où, il y a disons des arbitres de touches et un arbitre central. je crois et nous tous convenons de ce que seul le central à le dernier mot. pourquoi lors des confrontations où certaines équipes ont été injustement éliminées du fait de l’appréciation de l’arbitre central( c’est le cas de la rencontre Cameroun-chili en 1998 le juge de touche avait refusé un but au Chili que le central a validé ou alors de la main de thierry Henry lors des éliminations de la coupe du monde) la FIFA n’a jamais oser remis en cause le score final. mais plutôt a très souvent fait des promesses en vu de renforcer les capacités des arbitres dans l’avenir.
Je crois qu’il en est de même ici, les élections sont considérées comme un jeu qui a ses règles. le CC comme arbitre central a dit son dernier mot.
la « communauté internationale » aurait dû reconnaître qu’elle n’a pas été attentive sur la marge de manoeuvre que Gbagbo détenait encore. car c’est elle qui a plongé la côte d’ivoire dans cette situation. cette « communauté internationale » aurait dû s’inspirer des décisions de la FIFA qui à 99,9% reconnais le score de fin du match donné par l’arbitre central.car la légitimité dont la « communauté internationale » reconnaît à Ouatarra n’est crédible au regard de la précipitation des réactions pro-Ouatarra à travers le monde.Est ce que Gbagbo n’était plus qu’un « personna non grata » à déloger de son fauteuil au regard de ses rapports avec l’extérieur? peut être les analystes géopolitiques et géostratégiques apporteront une réponse? en tous cas le pire a commencé au pays d'Ouphouet Boigny.
La légitimité pour le cas présent est la conviction qu’on a que la majorité de l’électorat lors des dernières élections a été favorable à Ouattara.
Pourtant la légalité ici revêt outre la conformité à la loi, les questions d’éthique et de déontologie.Mais comme les notions d’éthique et déontologie sont pour ma part un peu subjectives ,on peu s’en remettre tout simplement à la conformité -à la loi.
la situation qui se présente aujourd’hui mets deux acteurs institutionnels en jeu à savoir la CEI et le conseil constitutionnel. la loi stipule que la CEI a compétence de proclamer les résultats provisoires et le conseil constitutionnel(CC)les résultats définitifs. sans oublier surtout que le CC est un organe judiciaire de dernier ressort dont ses jugements sont revêtus de ce qu’on appelle en droit de l’autorité de la chose jugée, par conséquent non susceptible de recours.
cette situation me fait penser à un match de football où, il y a disons des arbitres de touches et un arbitre central. je crois et nous tous convenons de ce que seul le central à le dernier mot. pourquoi lors des confrontations où certaines équipes ont été injustement éliminées du fait de l’appréciation de l’arbitre central( c’est le cas de la rencontre Cameroun-chili en 1998 le juge de touche avait refusé un but au Chili que le central a validé ou alors de la main de thierry Henry lors des éliminations de la coupe du monde) la FIFA n’a jamais oser remis en cause le score final. mais plutôt a très souvent fait des promesses en vu de renforcer les capacités des arbitres dans l’avenir.
Je crois qu’il en est de même ici, les élections sont considérées comme un jeu qui a ses règles. le CC comme arbitre central a dit son dernier mot.
la « communauté internationale » aurait dû reconnaître qu’elle n’a pas été attentive sur la marge de manoeuvre que Gbagbo détenait encore. car c’est elle qui a plongé la côte d’ivoire dans cette situation. cette « communauté internationale » aurait dû s’inspirer des décisions de la FIFA qui à 99,9% reconnais le score de fin du match donné par l’arbitre central.car la légitimité dont la « communauté internationale » reconnaît à Ouatarra n’est crédible au regard de la précipitation des réactions pro-Ouatarra à travers le monde.Est ce que Gbagbo n’était plus qu’un « personna non grata » à déloger de son fauteuil au regard de ses rapports avec l’extérieur? peut être les analystes géopolitiques et géostratégiques apporteront une réponse? en tous cas le pire a commencé au pays d'Ouphouet Boigny.
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