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Affichage des articles du mars 30, 2011

Plus de 12 millions de Camerounais sans emploi

D’après l’Institut national de la statistique, 582 319 personnes ont un emploi salarié sur une population active de 13 millions L’Etat emploie moins de 200.000 agents Le travail est encore un véritable serpent de mer au Cameroun. Une hydre à mille têtes. C’est la principale leçon à retenir en parcourant le rapport commis par l’INS, après une enquête menée en 2009, et qui fait toujours foi. L’INS apprend ainsi que l’Etat du Cameroun, le premier employeur compte seulement 196.056 agents permanents. Le rapport est muet quant au personnel temporaire employé par l’Etat. D’ailleurs l’INS est assez réservé sur la question. Ce qui n’est pas le cas des statistiques inhérentes au secteur privé qui, après plusieurs décennies, a pour premier employeur la Cameroon development corporation (CDC), avec un peu plus de 13.000 employés dont la plus grande part est constituée d’ouvriers. Au sujet des statistiques en général, on retient que les entreprises recensées lors du dernier recensement g

Un regard sportif sur l’impasse ivoirienne actuelle

Deux concepts semblent se dégager sur la problématique qui fait l’objet des élections en côte d’ivoire. La légitimité pour le cas présent est la conviction qu’on a que la majorité de l’électorat lors des dernières élections a été favorable à Ouattara. Pourtant la légalité ici revêt outre la conformité à la loi, les questions d’éthique et de déontologie.Mais comme les notions d’éthique et déontologie sont pour ma part un peu subjectives ,on peu s’en remettre tout simplement à la conformité -à la loi. la situation qui se présente aujourd’hui mets deux acteurs institutionnels en jeu à savoir la CEI et le conseil constitutionnel. la loi stipule que la CEI a compétence de proclamer les résultats provisoires et le conseil constitutionnel(CC)les résultats définitifs. sans oublier surtout que le CC est un organe judiciaire de dernier ressort dont ses jugements sont revêtus de ce qu’on appelle en droit de l’autorité de la chose jugée, par conséquent non susceptible de recours. cette situat