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Articles

Affichage des articles du janvier 25, 2011

manifestations en Egypte contre le régime Moubarak.

La révolte populaire en Tunisie a inspiré les manifestants égyptiens, qui sont descendus dans la rue par milliers mardi, notamment au Caire, pour réclamer le départ du président Hosni Moubarak au pouvoir depuis près de 30 ans. Des échauffourées se sont produites dans la capitale entre protestataires et policiers, déployés en grand nombre. "Moubarak dégage", pouvait-on notamment lire -en français, comme en hommage à la Tunisie- sur des pancartes, tandis que les manifestants scandaient des slogans hostiles au président égyptien, au pouvoir depuis 1981. "Dehors!", hurlaient-ils notamment, en référence à la révolte qui a provoqué le départ le 14 janvier du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali.

Obiang pour une "commission spéciale" sur la crise en Côte d'Ivoire

Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema va proposer au prochain sommet de l'Union africaine (UA) la création d'une "commission spéciale sur le règlement" de la crise en Côte d'Ivoire, privilégiant "une solution pacifique", a annoncé lundi un de ses conseillers. Le président Obiang "va suggérer à ses homologues la création d'une commission spéciale pour le règlement du conflit (post-)électoral en Côte d'Ivoire", a déclaré à l'AFP Juan Noël Nsue Ondo, directeur général et conseiller en matière de politique à la présidence équato-guinéenne. Le sommet de l'UA est prévu du 29 au 31 janvier à Addis Abeba, où l'organisation panafricaine a son siège. Au cours de cette rencontre, selon le conseiller présidentiel équato-guinéen, M. Obiang Nguema "a 100% de chances" d'être désigné président en exercice de l'UA. "Comme président de Guinée équatoriale et futur président de l'UA, (il) privilégi

L'ascension du Mont Cameroun renvoyée au 26 février .

 L'ascension du Mont Cameroun, une compétition qui se déroule dans le sud-ouest du pays, a été reportée du 19 au 26 février prochain. Le président de la Fédération camerounaise d’athlétisme, Jacques Sébastien Mbous, a déclaré que près de 1.000 athlètes prendront part à la compétition, contre 754 en 2010, précisant que la sélection des athlètes camerounais se déroulera les 29 et 30 janvier. Instituée en 1973 par une brasserie du pays, l’ascension du Mont Cameroun est une compétition internationale qui se déroule sur 4.000 mètres.

Tunisie: le lieu de la revolution baptisé "Place Bouazizi" ,nom de ce vaillant fils de la Tunisie qui s'est immolé par le feu.

Symbole de la révolution de tout un peuple - En dépit d'un retour progressif à la normale, le gouvernorat de Sidi Bouzid qui a vu jaillir les premières étincelles du soulèvement du peuple tunisien, vit encore au rythme de la révolution du 14 janvier 2011 qui a emporté le régime de l'ex-président tunisien. Chaque nouvelle journée a son lot de manifestations. Les mouvements contestataires continuent, réclamant la dissolution du RCD et la rupture totale avec ses symboles, outre la nécessité de veiller à ce que justice soit rendue à toutes les victimes de l'ancien régime et au peuple qui a longtemps souffert de toutes les formes d'injustice et d'oppression. La place 7-Novembre (date de l'accession au pouvoir de l'ex-président), synonyme de 23 ans de souffrance et d'endurance, est désormais dédiée à la mémoire du marchand ambulant qui, victime de persécution et dans un moment de désespoir, s'est immolé par le feu. Les manifestants ont, en effe

L'économie tunisienne affectée par les événements politiques

Les événements que vit actuellement la Tunisie n'avantagent personne. Autant la chute de l'économie peut être brutale et rapide, autant la reprise risque d'être difficile et longue. Presque un mois après le déclenchement de la révolte populaire qui a conduit à la chute de l'ancien régime, divers secteurs économiques ont été profondément affectés. En effet, la crise tunisienne commence à avoir des répercussions réelles sur la situation socio-économique du pays. Les dernières statistiques relatives aux diverses pertes causées par cette révolte donnent le tournis. Le ministre de l'Intérieur, Ahmed Friaa, avait annoncé, récemment, que les récentes violences avaient coûté 1,6 milliard d'euros de pertes (environ 4% du PIB) à une économie tunisienne auparavant florissante, qui a bénéficié d'une croissance annuelle de près de 5% par an depuis plus de dix ans, sans toutefois empêcher un chômage important, un des facteurs clés de la chute du régime. Selon les c