Le secrétaire général des Nations-Unies n’a pas la paix du cœur. Depuis que l’idée de la réévaluation du processus électoral émise par le président ivoirien Laurent Gbagbo pour régler la crise post-électorale a été vue comme géniale par ses pairs, Ban Ki-moon est entré en transe. Il a peur que l’on découvre ses magouilles, ses mensonges cousus de fil blanc et que cela ne remette en cause non seulement la prétendue élection de Ouattara mais aussi son deal avec la France pour sa réélection à la tête de l’ONU. Vendredi, jour de la réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine qui se tient à Addis-Abeba, Ban Ki-moon était à Davos en Suisse où il est intervenu à la tribune. Le fait que l’unanimisme apparent du début de la crise ivoirienne se fissure pour la recherche de la vérité n’emporte pas son adhésion. «Je suis inquiet que des différences d’opinion apparaissent maintenant au sein de l’Union africaine. Ce n’est pas souhaitable en ce moment où il faut préserver l’intégr
TOUT CE QUI SE DIT TOUT BAS