L’ancien président du Ghana, le lieutenant de l’armée de l’air Jerry John Rawlings, a qualifié l'arrestation lundi du président de Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo, de répétition de la tragédie de Patrice Lumumba en Républiquedémocratiquedu Congo en 1960.
Commentant les événements entourant l'arrestation de M. Gbagbo, le Président Rawlings a dit: «Cinquante ans plus tard, avec l'Afrique cherchant encore à tâtons la liberté et la justice, l'Afrique noire répète la tragédie de Patrice Lumumba, alors que juste à côté, nos compatriotes arabes se battent et meurent pour leur liberté."
«Jusqu’à quel point sommes-nous soumis ?», demande-t-il.
Il a déclaré: «La mauvaise gestion violente de l'arrestation de Gbagbo et des membres de sa famille, en particulier l'humiliation de sa femme par les forces rebelles, est un nouvel acte d'accusation à l’encontre de certains membres de la communauté internationale.»
L'ancien président a dit que des rapports vérifiables établissent que les rebelles enlèvent des femmes et des filles dans certains quartiers populaires d'Abidjan, citant notamment le cas de Yopougon Sicogi, où des opérations porte-à-porte de «nettoyage» sont en cours depuis mardi, les hommes étant exécutés et les femmes et les filles enlevées.
Il a affirmé que «les rapports de la Croix-Rouge et d'autres organisations internationales sur le massacre de 800 personnes par les forces rebelles à Duékoué, ainsi que le refus de la communauté internationale de blâmer les responsables exposent encore plus le parti pris dans la crise ivoirienne.»
Commentant les événements entourant l'arrestation de M. Gbagbo, le Président Rawlings a dit: «Cinquante ans plus tard, avec l'Afrique cherchant encore à tâtons la liberté et la justice, l'Afrique noire répète la tragédie de Patrice Lumumba, alors que juste à côté, nos compatriotes arabes se battent et meurent pour leur liberté."
«Jusqu’à quel point sommes-nous soumis ?», demande-t-il.
Il a déclaré: «La mauvaise gestion violente de l'arrestation de Gbagbo et des membres de sa famille, en particulier l'humiliation de sa femme par les forces rebelles, est un nouvel acte d'accusation à l’encontre de certains membres de la communauté internationale.»
L'ancien président a dit que des rapports vérifiables établissent que les rebelles enlèvent des femmes et des filles dans certains quartiers populaires d'Abidjan, citant notamment le cas de Yopougon Sicogi, où des opérations porte-à-porte de «nettoyage» sont en cours depuis mardi, les hommes étant exécutés et les femmes et les filles enlevées.
Il a affirmé que «les rapports de la Croix-Rouge et d'autres organisations internationales sur le massacre de 800 personnes par les forces rebelles à Duékoué, ainsi que le refus de la communauté internationale de blâmer les responsables exposent encore plus le parti pris dans la crise ivoirienne.»
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