Accéder au contenu principal

CI: le chef du commando invisible est mort

Le sergent-Chef Ibrahim Coulibaly a été tué mercredi soir à Agboville lors des affrontements entre ces hommes et les combattants d’Alassane Ouattara,  a annoncé le capitaine Allah Kouakou , porte-parole du ministre de la défense d’Alassane Ouattara, Soro Guillaume, sur la chaîne de télévision (TCI).
Ibrahim Coulibaly était en fuite vers Agboville après que les positions de ses hommes aient été attaquées par la compagnie Atchengué du Commandant  Morou, l’un des chefs de guerre pro-Ouattara.
Selon des sources concordantes, les combattants d’Alassane Ouattara avaient lancé mercredi matin une attaque d’envergure contre le fief du « commando invisible » de Ibrahim Coulibaly, à Abobo.
Ibrahim Coulibaly qui revendique la paternité de  la rébellion des forces nouvelles, avait manqué à une réunion mardi convoqué par le premier ministre d’Alassane Ouattara à l’hotel Sébroko.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

À qui profite la parité fixe entre le franc cfa et l’euro ?

Quand il s’agit de répondre à cette question, deux écoles se distinguent. La première, minoritaire estime que la parité fixe est avantageuse pour les États de la zone CFA, avec notamment la maîtrise de l’inflation et la stabilité macroéconomique. Certains dissent meme que La volonté de rompre avec ce système relève de raisons plus politiques et symboliques qu’économiques, et qu’ on voit bien qu’aujourd’hui les grandes zones économiques, que ce soit en Asie ou ailleurs en Afrique, recherchent une stabilité de leur monnaie par rapport à celles de leurs principaux partenaires commerciaux. Reste que le bilan de plusieurs décennies de cette parité fixe n’est guère reluisant. La croissance, moteur du développement économique, est limitée (elle sera de 6 % pour l’Afrique de l’Est en 2010-2011, contre 4 % pour la zone CFA), et la grande majorité des pays concernés comptent parmi les plus pauvres du monde. D’où le deuxième courant, issu des milieux intellectuels et économiques africains, qui

portrait:Docteur Samia Shimi

Depuis quelques mois, le docteur Samia Shimi est  médecin généraliste, Ce lundi matin, elle me reçoit , pour une interview sur son métier. Avec le sourire, elle se prête aimablement au petit jeu des questions-réponses de af-media, et revient sur le parcours qu’elle a effectué jusqu’aujourd’hui.     af-media:Quel a été votre cursus scolaire, pour devenir médecin ? - J’ai d’abord obtenu un baccalauréat scientifique au maroc,  BAC D (spécialité Sciences Naturelles), puis je me suis orientée vers des études de médecine. Après huit ans, j’ai obtenu mon diplôme.  af-media:Comment se sont déroulées vos études ? - En plus des cours, nous devions effectuer, à partir de la quatrième année, des stages en milieu hospitalier. Tous les matins et pendant  des mois durant , nous étions donc en immersion dans le milieu professionnel. Les stages se déroulent par cycles de quatre mois et au bout de cette période, nous étions affectés à un autre service, afin de découvrir tous les secteurs de la profes